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Marie Chataignier & Anlor Gueudret

Parcours croisés de danseuses et chorégraphes 

Marie grandit à Aubagne, Anlor près de Nantes. Pendant que l’une s’initie dans son lycée à la danse dans l’espace public avec la compagnie Ex-Nihilo, l’autre découvre les géants de Royal de Luxe qui envahissent sa ville. Les arts de la rue imprègnent très tôt leur imaginaire et leurs corps.

 

En 2007, elles se rencontrent aux R.I.D.C. (Rencontres Internationales de Danse Contemporaine) , à Paris, où elles ont décidé de se former, de changer de cap, pour “entrer en danse”. Elles ont la chance d’y travailler avec de nombreux chorégraphes parmi lesquels Dominique Dupuy, Christine Gérard, Martin Kravitz, Alban Richard, Mié Coquempot, Susan Alexander, Lila Greene...et surtout de s’inscrire dans la filiation d’une “certaine idée de la danse” où la place du danseur dans la “polis” - la cité - est noble ; où le métier de danseur, de pédagogue et de chorégraphe sont indissociables.

C’est là aussi qu’elles chorégraphient "The Man I love", une pièce dansée pour banc public, qui marquera, en 2008, la création de la compagnie les mobilettes, “parce qu’on est mobile, et parce qu’on est des filles”. 

 

Autre rencontre marquante et autre point commun : quelques années chez Décor Sonore, dirigé par Michel Risse, où elles affinent leur exigence de l’art en espace ouvert - un espace qui transforme et à transformer, un espace de rencontres et de risques.

 

Marie s’installe en Ardèche en 2009 dans un désir de vivre et travailler en milieu rural. C’est tout naturellement qu’Anlor la rejoint deux ans plus tard pour ensemble développer les activités de la compagnie et commencer à travailler sur "Café Frappé !".

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